Rêveries

J'ai rêvé de douceur, de calme et de beauté.

J'ai désiré la Lune, tant de futilités...

Oui, moi je voulais tout au-delà du possible,

Me croyant assez fort pour vaincre l'invincible.

Je n'écoutais personne, me fiant à mon jugement,

N'ayant que l'amertume pour unique sentiment.

Et plus le temps passait, et plus je n'avais rien,

Rien que la solitude et puis tant de chagrin.

Je me suis isolé pour apprendre à mûrir,

A vivre en responsable, et non sur des désirs.

Les rêves sont bien beaux, mais ils ne suffisent pas.

Les soucis de la vie ne nous laissent guère le choix.

Et quand, de mes ténèbres, j'ai découvert le jour,

J'ai aussi découvert le pouvoir de l'Amour.

Tel un astre flamboyant qui rayonnait d'espoirs,

Gommant tous mes soucis, mes peines et mes déboires.

D'un sourire, d'un regard, tu m'avais envoûté.

Et moi je t'ai suivie, à jamais enchaîné,

Par ta sincérité, ton charme et ta fraîcheur,

Dans un havre de paix, de joie et de bonheur.

Toi la femme de mon cœur, toi l'Amour de ma vie.

Toi que je veux chérir tant que je suis ici.

Oui toi, ma chérie sans qui je ne suis rien,

Je te le dis serein : Tout en moi t'appartient.

- Éric MATHIEU -

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Mise en page et création : Eric

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